La lumière mise en scène
Le chœur est constitué de deux travées. La première, occupée par les marches conduisant au niveau le plus élevé est voûtée en berceau souligné par une coursière reposant sur de gros corbeaux.
La coursière du chevet est prise dans le mur.
A l’époque romane on essaye de favoriser la lumière et même si elle n’est pas toujours abondante, elle est désormais mise en scène.
L’ensemble est abondamment éclairé par deux étages de baies; le tout surmonté, au niveau du chevet, par un occulus.
La seconde travée du choeur est voûtée d’une croisée d’ogives de section carrée avec une curieuse clé à sept claveaux.
La croisée du transept est voûtée d’une coupole sur pendentif caractéristique de l’art roman en Périgord.
La coupole, avec sa forme circulaire, symbolise le monde divin et l’infini, en opposition à la forme rectangulaire de la croisée du transept qui symbolise, elle, le monde terrestre
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